Coucou, Ô, Babounette, Coucou, Ô Mme Saumon
saumon a écrit : ↑mer. 2 oct. 2019 21:07
Toujours aussi vaillant notre Ioreck!
Babeth a écrit : ↑mer. 2 oct. 2019 23:27Et courageux
Aaah, Mesdames, merci pour ces mots qui me donnent du cœur au ventre, j'en redemande encore et toujours
Fâcherie, Fâcherie, un peu de tact, Madame !
Jeudi soir, baille après le taf, une occasion de se délasser et d' oublier les soucis
Mais le matos, toujours le même se montre récalcitrant et ce n'est pas le moment...
Je rame au propre dans ce bassin polyvalent, le seul ouvert en cette journée déclinante, allant déjà vers la nuit,
pas trop de monde dans la ligne, mais je suis à cran et les sillages de retour sont autant d'esquimautages ratés
qui me font pester, mais je suis cool, hein
J'ai le souffle court à chaque mouvement et mes sous marinages
sont tendus, je manque la tasse à deux ou trois reprises... envoyer les bras, ramener en rythme pour sentir
l'effort, essayer de coordonner avec les guibolles, chose qui peut paraître simple mais qui est difficile,
dans la partie libre le cours d'aquapalme bat son plein, je manque une embardée et crains pour mon
ciboulot qui de temps à autre s'en va cogner contre la ligne de flotteurs, çà à beau être en plastique, çà
fait mal, mais j'ai de la chance dans mon malheur, le silicone a tenu le coup et ne s'est pas rompu comme
un soir...
C'est vers la fin que les choses se sont gâtées, je ne parlerais pas de catastrophe mais bon,
je sous marine un peu côté profond de la partie libre, lorsque je me fais interpeller par une
maître nageuse " L'endroit est réservé, Monsieur et les apnées sont interdites"... le ton semble
trop vigoureux à votre serviteur et la leçon de morale qui s'ensuit lui déplaît plus que fortement,
même si dans le fond, la Dame avait raison... ce n'est pas la première fois que je me fais reprendre,
mais de façon posée la plupart du temps. Avant de partir, je lui ai fait part de mon désaccord...
Elle ne connaît pas mon histoire à sa décharge, mais le souvenir des cris des maîtres nageurs dans mon
enfance sont remontés alors que je n'en avait aucunement besoin.
Sur ce, Mesdames, Messieurs