
Succès damné
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Re: Succès damné
Hey Ioreck ! Que deviens -tu après ces deux mois ?


"Celui qui veut réussir doit apprendre à combattre, persévérer et souffrir" Bruce Lee
- Babeth
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Re: Succès damné
On espère que tu n'es pas malade
Donne-nous de tes nouvelles dès que tu le pourras

Donne-nous de tes nouvelles dès que tu le pourras

Je ne suis pas celui que vous croyez 

Re: Succès damné
Babounette, Saumonette, Copines et Copains
Merci de vous inquiéter, cela me touche beaucoup
Je vous rassure, je vais bien
"Mais que diable vais-je faire dans cette galère
"
Le retour du Rail d'Ouessant de la rentrée aurait pu me mettre un coup de pression,
mais il n'y en a rien été... Je me surprend encore dans cet automne aux faux airs d'été
Dame Phobie a l'air de me laisser en paix, mais j'ait toujours de l'appréhension au début.
Mon niveau ornithorynque est stable et de mouvement en mouvement, je tien mon cap,
l'heure arrive assez vite, le tout avec les petites plaques -C'est curieux en ce moment j'ai
plus de mal avec les grandes- la panne me laissant tranquille, alors que l'an dernier,
elle me calait au bout de deux pauvres longueurs
Le lignes sont assez peuplées et je râle un peu contre ce léger inconfort et , pourtant,
j'y vais en me demandant très souvent "Mais que diable vais-je faire dans cette galère
"
Je me rends compte que j'en veux et que je ne sais pas pourquoi après douze ans de pratique
bientôt. Mais l'essentiel n'est pas là, je suis satisfait et c'est bien ce qui compte, non
Sur ceci
Ps : vous me pardonnerez Mesdames et Messieurs d'avoi paraphrasé un peu trop facilement,
Messieurs Molière et De Bergerac...


Merci de vous inquiéter, cela me touche beaucoup

Je vous rassure, je vais bien

"Mais que diable vais-je faire dans cette galère

Le retour du Rail d'Ouessant de la rentrée aurait pu me mettre un coup de pression,
mais il n'y en a rien été... Je me surprend encore dans cet automne aux faux airs d'été

Dame Phobie a l'air de me laisser en paix, mais j'ait toujours de l'appréhension au début.
Mon niveau ornithorynque est stable et de mouvement en mouvement, je tien mon cap,
l'heure arrive assez vite, le tout avec les petites plaques -C'est curieux en ce moment j'ai
plus de mal avec les grandes- la panne me laissant tranquille, alors que l'an dernier,
elle me calait au bout de deux pauvres longueurs

Le lignes sont assez peuplées et je râle un peu contre ce léger inconfort et , pourtant,
j'y vais en me demandant très souvent "Mais que diable vais-je faire dans cette galère

Je me rends compte que j'en veux et que je ne sais pas pourquoi après douze ans de pratique
bientôt. Mais l'essentiel n'est pas là, je suis satisfait et c'est bien ce qui compte, non

Sur ceci

Ps : vous me pardonnerez Mesdames et Messieurs d'avoi paraphrasé un peu trop facilement,
Messieurs Molière et De Bergerac...
Ô, Ma Mamie, ô, ma Grand mère adorée, que tu me manques déjà...
- Babeth
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Re: Succès damné
Quel plaisir de te retrouver sur le site et d'avoir de tes nouvelles, Ioreck
A plouf pour te lire à nouveau


A plouf pour te lire à nouveau

Je ne suis pas celui que vous croyez 

Re: Succès damné
Babounette, Saumontte, Copines et Copains,
Dame Fatigue m'aura eu à la dure ces derniers mois
Aussi, faut-il de la volonté, j'en ai, je ne sais comment
Pour louvoyer entre les autobus en panne et le monde
dans les lignes... bondées... mais trouver quand même
de la satisfaction
entre l'espacement qui
permet de retrouver un corps, des bras qui tirent beaucoup
moins et avoir une apparente facilité, même si votre
serviteur se retrouve vite dépassé. En vouloir encore et toujours,
malgré les collisions et les propos aigres-doux échangés.
L'embardée guette toujours en début de couloir et les dépassements
sont toujours pour les autres... longtemps que je ne m'y hasarde
plus, surtout avec les déboitements qui peuvent être effrayants


Dame Fatigue m'aura eu à la dure ces derniers mois

Aussi, faut-il de la volonté, j'en ai, je ne sais comment

Pour louvoyer entre les autobus en panne et le monde
dans les lignes... bondées... mais trouver quand même
de la satisfaction

permet de retrouver un corps, des bras qui tirent beaucoup
moins et avoir une apparente facilité, même si votre
serviteur se retrouve vite dépassé. En vouloir encore et toujours,
malgré les collisions et les propos aigres-doux échangés.
L'embardée guette toujours en début de couloir et les dépassements
sont toujours pour les autres... longtemps que je ne m'y hasarde
plus, surtout avec les déboitements qui peuvent être effrayants

Ô, Ma Mamie, ô, ma Grand mère adorée, que tu me manques déjà...
Re: Succès damné
Coucou, Babounette, Saumonette, Copines et Copains
Samedi de bon matin et résolution prise, arrivée au bassin.
Souquer ferme, souquer
Pensant y être tôt dans la journée, j'espérais un peu moins de monde
Las,
cinq à six nageurs par lignes, il fallait jouter serré...
Quand je dis, serré, c'est un point de vue, mon niveau
ornithorynque ne me le permet peut-être pas...
je me lance comme un paquet de sottises, hésitant même,
pourquoi ce blanc en près de treize ans de pratique, une frayeur me
prend, mais j'engage aussitôt, goutant toujours les premiers instants,
surtout après une pause de trois jours, cela paraît toujours un peu plus
facile à vôtre serviteur... mais rapidement, je déchante, la chiourme présente
provoque un clapot dont les tourbillons freinent mon allure, que je voulais
pourtant magnifique. Quelle impression je fais
beaucoup semblent se
marrer et cela vaut toujours mieux qu'un jugement.
Je donne souvent dans la ligne de flotteurs à l'aller, mais jamais au retour,
allez savoir, des fois, je ne suis pas droit, sans compter les impulsions au frein
à main par peur de la collision, Dame Phobie, quand tu me tiens
j'ai tout de même la satisfaction de quelques longueur à peur près correctes
et dans mon allure habituelle. En début de ligne un père avec ces deux enfants,
ô, charmants bouts de choux... vos sourires valent réparation aux
regards de travers souvent échangés.
Fatigué, je sors et découvre un détail insolite... les membres du club
s'attachant à une corde pour être tirés par un autre et mon imagination
par vers les fleuves et cette pratique de la toue -la barque attachée à une corde,
elle même coulissant sur une autre fixée au rives
système qui permettait aux embarcations de remonter le courant.
Il n'y en a pourtant pas dans les piscines, non


Samedi de bon matin et résolution prise, arrivée au bassin.
Souquer ferme, souquer

Pensant y être tôt dans la journée, j'espérais un peu moins de monde
Las,

Quand je dis, serré, c'est un point de vue, mon niveau
ornithorynque ne me le permet peut-être pas...
je me lance comme un paquet de sottises, hésitant même,
pourquoi ce blanc en près de treize ans de pratique, une frayeur me
prend, mais j'engage aussitôt, goutant toujours les premiers instants,
surtout après une pause de trois jours, cela paraît toujours un peu plus
facile à vôtre serviteur... mais rapidement, je déchante, la chiourme présente
provoque un clapot dont les tourbillons freinent mon allure, que je voulais
pourtant magnifique. Quelle impression je fais

marrer et cela vaut toujours mieux qu'un jugement.
Je donne souvent dans la ligne de flotteurs à l'aller, mais jamais au retour,
allez savoir, des fois, je ne suis pas droit, sans compter les impulsions au frein
à main par peur de la collision, Dame Phobie, quand tu me tiens

j'ai tout de même la satisfaction de quelques longueur à peur près correctes
et dans mon allure habituelle. En début de ligne un père avec ces deux enfants,
ô, charmants bouts de choux... vos sourires valent réparation aux
regards de travers souvent échangés.
Fatigué, je sors et découvre un détail insolite... les membres du club
s'attachant à une corde pour être tirés par un autre et mon imagination
par vers les fleuves et cette pratique de la toue -la barque attachée à une corde,
elle même coulissant sur une autre fixée au rives

système qui permettait aux embarcations de remonter le courant.
Il n'y en a pourtant pas dans les piscines, non

Ô, Ma Mamie, ô, ma Grand mère adorée, que tu me manques déjà...