Bonjour à tous,
Je suis passionné par la natation et actuellement en formation pour devenir un athlète de haut niveau. Je suis à la recherche de conseils sur la santé et l'entretien physique spécifiques à la natation de compétition. Pouvez-vous partager vos meilleures pratiques, routines d'entraînement, conseils nutritionnels, ou stratégies de récupération qui ont fonctionné pour vous ou d'autres nageurs de haut niveau ? Toute suggestion pour améliorer les performances, prévenir les blessures, et maintenir une bonne santé générale serait grandement appréciée.
Merci beaucoup pour votre aide !
Cordialement,
Devenir pro
Re: Devenir pro
Franchement je suis très mal placé pour te répondre.
Dans le milieu tu ne trouves pas conseil ? Des requins avares en conseil ?
La patience est la longueur de temps… Des mecs comme Phelps et Marchand sont des stakhnovistes mais je ne pense pas qu'ils soient les «choses» de leurs entraîneurs.
La discipline c'est n'est qu'un mot les rituels ont une force. Crée des rituels et tiens toi y. Quand j'écoute des interview le gros des sportifs qui durent il y a un aspect monastique dans leur engagement, l'excellence est un conjoint jaloux.
Documente tes efforts, tiens un journal, ce qui marche et ne marche pas. Réfléchit à ce que tu fais, écrire aide à mettre à plat les choses. C'est la tête qui commande, tu dois penser tes automatismes.
Tu n'est pas là pour te punir, discipline, ascétisme, accepter la gratification différée, ce n'est pas méprisé la mauvaise douleur. Qui veut voyages loin ménage sa monture. Atteindre petits objectifs après petit objectifs construit la confiance.
En général, pour progresser il faut accepter de régresser et de remettre à plat certains éléments techniques. Les objectifs sont placés dans le temps, il faut mesurer mais comme un régime c'est contre productif de se peser trop souvent. Il faut apprendre à se connaitre.
Je trouve que les athlètes français se blessent beaucoup, peut-être une fausse impression, mais renseigne toi sur des forum anglo-saxon divers sur les techniques «d'entretien» des fascia. Je soupçonne que les étirements tel que pratiqués ne soient la meilleure des choses.
Je ne suis pas athlète et je suis étonné qu'un profil comme le tien cherche des infos non dans ton entourage mais sur un forum. Qu'ils partagent ou pas leurs secrets, les athlètes sont rarement des benêts, c'est dans la tête, on n'est pas tous pareil, connais-toi toi, cherche ce qui marche pour toi, ne te punit pas ne néglige pas tes sensations. Les rituels et les petits objectifs t'aideront face au découragement, donne toi raisonnablement du temps pour atteindre des objectifs ambitieux mais raisonnable quand ça rate réfléchit objectif trop haut, mauvais organisation, etc. documente.
Sinon faut avoir faim, ce n'est pas facile parce que l'environnement français n'est pas aussi compétitif que celui aux US par exemple. En particulier, pour le football, sport sans amateur, c'est à dire que ce qui ne sont pas retenus dans les équipes scolaires (puis fac) ne jouent plus, pas de second tours. J'ai vu des gamins du mid-west courir en plein été +35c et +/-100% d'humidité deux fois par jour pour préparer la pré-saison. J'ai appris que les masters en natation avaient des cours débutant à 6h du matin.
Oublie les volets, et lève-toi, si besoin sieste.
Les athlètes US passent beaucoup de temps en salle, ont accès aux infra facilement.
Franchement, je n'en sais rien et je m'ennuie, mais c'est toujours la tête qui bosse, qui se discipline, qui discipline, qui ressent, qui analyse, qui craque, qui en veut plus, qui en veut trop trop vite.
Pour atteindre ce que tu veux il faut que ta tête t'amène toi et ton corps là ou des fois ils ne voudrons plus aller, repousser tes limites mais ne pas te prendre de mur. La plus part craque mais pas toi, tu diras ce que tu fais et fera ce que tu dis. Je disais que les sportifs ne sont pas des benêts, il n'y a pas que c'est tous des flèches non plus, mais il sont mâtures et résolus à atteindre leur objectifs, ce qui demande de l'honnêteté dans l'analyse des forces et faiblesses.
Crois, c'est personnel, la croyance plus qu'en toi, en quelque chose qui fait que tu en es déjà là plutôt que je ne sais pas écrasé par P Palmade, qui veille sur toi, un ange gardien en quelque sorte. Soit reconnaissant de ce que tu as pu accomplir, ce n'est pas donné à tout le monde, les accidents de la vie, voire la mort (on voit ce qu'il en est de l'enfance en milieu «hostile») … J'ai mes croyances personnelles et je crois que beaucoup d'athlètes aussi, c'est un sujet perso et ça n'a forcément à être partagé surtout que cela n'a pour beaucoup aucun lien avec des religions établies.
Pour le vin, je te conseille les côtes de Bourg, dans le bordelais, que je trouve sous côtés
Travaille bien et «don't practice mistake» «no dicking around» trouve une relation stable et sérieuse quelqu'un qui comprend la métronomie de la vie à laquelle tu t’astreins. Il y aura du monde quand tu gagnes, pas grand monde quand tu perds, l'entourage est critique même si ta force doit être intérieure ou supérieure. La peur de l'échec entraîne la procrastination, la mauvaise pression, la reconnaissance de ce qui t'es donné (et bien sûr de ce que tu apporteras en travail, et supportera en frustrations, douleurs, etc) t'amènerons avoir la performance non comme une épreuve sous pression, mais «ta chance» avec cette putain de glorieuse incertitude du sport.
J'arrête mes élucubrations façon Gana/Skippy.
Dans le milieu tu ne trouves pas conseil ? Des requins avares en conseil ?
La patience est la longueur de temps… Des mecs comme Phelps et Marchand sont des stakhnovistes mais je ne pense pas qu'ils soient les «choses» de leurs entraîneurs.
La discipline c'est n'est qu'un mot les rituels ont une force. Crée des rituels et tiens toi y. Quand j'écoute des interview le gros des sportifs qui durent il y a un aspect monastique dans leur engagement, l'excellence est un conjoint jaloux.
Documente tes efforts, tiens un journal, ce qui marche et ne marche pas. Réfléchit à ce que tu fais, écrire aide à mettre à plat les choses. C'est la tête qui commande, tu dois penser tes automatismes.
Tu n'est pas là pour te punir, discipline, ascétisme, accepter la gratification différée, ce n'est pas méprisé la mauvaise douleur. Qui veut voyages loin ménage sa monture. Atteindre petits objectifs après petit objectifs construit la confiance.
En général, pour progresser il faut accepter de régresser et de remettre à plat certains éléments techniques. Les objectifs sont placés dans le temps, il faut mesurer mais comme un régime c'est contre productif de se peser trop souvent. Il faut apprendre à se connaitre.
Je trouve que les athlètes français se blessent beaucoup, peut-être une fausse impression, mais renseigne toi sur des forum anglo-saxon divers sur les techniques «d'entretien» des fascia. Je soupçonne que les étirements tel que pratiqués ne soient la meilleure des choses.
Je ne suis pas athlète et je suis étonné qu'un profil comme le tien cherche des infos non dans ton entourage mais sur un forum. Qu'ils partagent ou pas leurs secrets, les athlètes sont rarement des benêts, c'est dans la tête, on n'est pas tous pareil, connais-toi toi, cherche ce qui marche pour toi, ne te punit pas ne néglige pas tes sensations. Les rituels et les petits objectifs t'aideront face au découragement, donne toi raisonnablement du temps pour atteindre des objectifs ambitieux mais raisonnable quand ça rate réfléchit objectif trop haut, mauvais organisation, etc. documente.
Sinon faut avoir faim, ce n'est pas facile parce que l'environnement français n'est pas aussi compétitif que celui aux US par exemple. En particulier, pour le football, sport sans amateur, c'est à dire que ce qui ne sont pas retenus dans les équipes scolaires (puis fac) ne jouent plus, pas de second tours. J'ai vu des gamins du mid-west courir en plein été +35c et +/-100% d'humidité deux fois par jour pour préparer la pré-saison. J'ai appris que les masters en natation avaient des cours débutant à 6h du matin.
Oublie les volets, et lève-toi, si besoin sieste.
Les athlètes US passent beaucoup de temps en salle, ont accès aux infra facilement.
Franchement, je n'en sais rien et je m'ennuie, mais c'est toujours la tête qui bosse, qui se discipline, qui discipline, qui ressent, qui analyse, qui craque, qui en veut plus, qui en veut trop trop vite.
Pour atteindre ce que tu veux il faut que ta tête t'amène toi et ton corps là ou des fois ils ne voudrons plus aller, repousser tes limites mais ne pas te prendre de mur. La plus part craque mais pas toi, tu diras ce que tu fais et fera ce que tu dis. Je disais que les sportifs ne sont pas des benêts, il n'y a pas que c'est tous des flèches non plus, mais il sont mâtures et résolus à atteindre leur objectifs, ce qui demande de l'honnêteté dans l'analyse des forces et faiblesses.
Crois, c'est personnel, la croyance plus qu'en toi, en quelque chose qui fait que tu en es déjà là plutôt que je ne sais pas écrasé par P Palmade, qui veille sur toi, un ange gardien en quelque sorte. Soit reconnaissant de ce que tu as pu accomplir, ce n'est pas donné à tout le monde, les accidents de la vie, voire la mort (on voit ce qu'il en est de l'enfance en milieu «hostile») … J'ai mes croyances personnelles et je crois que beaucoup d'athlètes aussi, c'est un sujet perso et ça n'a forcément à être partagé surtout que cela n'a pour beaucoup aucun lien avec des religions établies.
Pour le vin, je te conseille les côtes de Bourg, dans le bordelais, que je trouve sous côtés
Travaille bien et «don't practice mistake» «no dicking around» trouve une relation stable et sérieuse quelqu'un qui comprend la métronomie de la vie à laquelle tu t’astreins. Il y aura du monde quand tu gagnes, pas grand monde quand tu perds, l'entourage est critique même si ta force doit être intérieure ou supérieure. La peur de l'échec entraîne la procrastination, la mauvaise pression, la reconnaissance de ce qui t'es donné (et bien sûr de ce que tu apporteras en travail, et supportera en frustrations, douleurs, etc) t'amènerons avoir la performance non comme une épreuve sous pression, mais «ta chance» avec cette putain de glorieuse incertitude du sport.
J'arrête mes élucubrations façon Gana/Skippy.