Hier, à la piscine que je fréquente minimum deux fois par semaine depuis 7 ans, j'ai demandé si il était possible d'ouvrir une sixième ligne d'eau se qui est fait régulièrement dès qu'il n'y a pas de cours type aquagym ou natation synchonisée qui ont besoin d'un certaine largeur pour pratiquer.
Je me suis vu répondre par un mec que je ne connaissais pas de vue, que «oui mais, d'habitude, tout ça, il y a pas trop de monde, etc» bref pas grave mais tellement symptomatique du pays.
Décaler une ligne d'eau, 3 minutes de travail, harassant vraiment on compatit (la ligne était déjà en doublon de la dernière ligne d'eau).
Je me suis lancé en urgence dans un métier en tension, avec un délai de formation courte, pendant qqls mois j'ai dépassé les 200h de taf par mois. C'était démerde toi, limite avec la législation si il faut. L'encadrement fait pas le taf dans la mesure ou c'est entendu qu'on peut rejeter la merde sur des exécutants d'en bas, assez héroiques et dégourdis en fait, au final si les gars craquent l'état finance des «formations» et maintenant la loi immigration constitutionnalise l'accès à «son armée de réserve» de nos esclavagistes bon teint…
Bref, il y en a que ont de la chance. Mon ex-épouse s'y habitue pas, et moi après avoir vu ailleurs, pareil, il y a un jemenfoutisme toléré dans certaines castes de la société française, comme le droit à la pleurniche à tout bout de champs, de mauvaise augure. Je ne suis pas pour des mentalités de type le client est roi, mais il y a des endroits (pas la piscine que je fréquente même si ça m'a fait tiqué j'ai vu pas mal de staff tourner) ou tu paies et tu te sens au mieux invité/toléré et pas client.
On tourne pays sous-développé / république bananière, d'ici peu tout le monde sera rincé sauf les fonctionnaires et le gros privé, qui assumeront sans gène leur rôle de parasite.
Après avoir aveuglement aimé mon pays jeune, on est bien con, je rejoins de plus en plus l'avis de certains de concitoyens mal vu, c'est insupportable. Je regrette d'avoir raté mon expatriation, mais au moins j'ai essayé. Nb expatriation c'est pas le terme, je ne voulais pas partir travailler ailleurs, je voulais me barrer point barre.
Vos anecdotes du jour 2
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joelrollin
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Re: Vos anecdotes du jour 2
Ma petite expérience. Je nage tous les jours en dans ma cambrousse, évidemment, tout le monde se connaît et particulièrement 2 garçons qui sont des pointures l'un de natation, l'autre de triathlon longue distance dont il est champion du monde.
Bref, je nage et je m'arrête une fois pour discuter avec un MNS (ce qui ne m'arrive jamais). Arrive le champion qui choisit ma ligne. Me demande si je suis gèné par sa présence. Je rétorque que je m'en fiche et je ne paie pas assez cher mon abonnement pour pouvoir privatiser la ligne.
Je repars, il part.
Au bout de 3 longueurs pour moi et de 154 pour lui dans le même temps, je comprends qu'on a dû m'accrocher un bloc de ciment aux pieds ou un truc comme ça. C'est quand même pas possible qu'un mec aille aussi vite et moi aussi lentement.
Finalement, si, cela m'a gèné qu'il nage aussi bien. De une, il est super bien gaulé et moi je suis plutôt une bouteille de Perrier (et le moral en prend un coup) et de 2, je suis une tanche et ça fait mal de s'en rendre compte.
Du coup, je suis parti en me disant que plus jamais je nage dans la même ligne qu'un champion, la comparaison fait trop mal et sur absolument tous les plans.
Bref, je nage et je m'arrête une fois pour discuter avec un MNS (ce qui ne m'arrive jamais). Arrive le champion qui choisit ma ligne. Me demande si je suis gèné par sa présence. Je rétorque que je m'en fiche et je ne paie pas assez cher mon abonnement pour pouvoir privatiser la ligne.
Je repars, il part.
Au bout de 3 longueurs pour moi et de 154 pour lui dans le même temps, je comprends qu'on a dû m'accrocher un bloc de ciment aux pieds ou un truc comme ça. C'est quand même pas possible qu'un mec aille aussi vite et moi aussi lentement.
Finalement, si, cela m'a gèné qu'il nage aussi bien. De une, il est super bien gaulé et moi je suis plutôt une bouteille de Perrier (et le moral en prend un coup) et de 2, je suis une tanche et ça fait mal de s'en rendre compte.
Du coup, je suis parti en me disant que plus jamais je nage dans la même ligne qu'un champion, la comparaison fait trop mal et sur absolument tous les plans.
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joelrollin
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Re: Vos anecdotes du jour 2
hello,
Hier, en sortant de la piscine, je tombe sur une affiche qui dit que si on a des problèmes cardiaques, diabétiques, épilepsie, neurologiques... on doit prévenir les maîtres nageurs. Déjà, je me dis que c'est dommage que je ne l'ai pas vu plus tôt cette affiche parce que je me suis souvent posé la question s'il fallait prévenir. Après, je me souviens, dans mon ancienne piscine (à Montpellier aussi), j'avais prévenu de mes problèmes cardiaques (d'autant que j'avais fait 2 attaques dans cette piscine dans le mois précédent sans que jamais quiconque ne s'en rende compte). Je ne suis pas sûr que cela ait changé grand chose de le dire si ce n'est que les MNS étaient à deux doigts de m'interdire la piscine.
Bon, au final, j'ai regardé où étaient les MNS. Ils sont tout en haut des gradins que je ne pourrai de toute façon pas gravir donc... j'ai abandonné l'idée. Ils ont l'air, en plus, très attentifs à leur surveillance et je ne vois pas comment ils pourraient retenir les pathologies des nombreuses personnes qui passent.
Dans ma petite ville, oui, je papote avec les maîtres nageurs. Ici, à Montpellier, j'ai l'impression qu'ils voient trop de monde pour pouvoir faire attention à ce genre de détail. D'ailleurs, je me souviens d'une fois où je vois un maître nageur passer avec une bouteille de Vals à la main. Je voulais savoir où il l'avait acheté à Montpellier car c'est mon eau préférée... je l'ai hélé, appelé, crié... il ne m'a même pas entendu.
Et vous, vous communiquez avec les MNS ?
Hier, en sortant de la piscine, je tombe sur une affiche qui dit que si on a des problèmes cardiaques, diabétiques, épilepsie, neurologiques... on doit prévenir les maîtres nageurs. Déjà, je me dis que c'est dommage que je ne l'ai pas vu plus tôt cette affiche parce que je me suis souvent posé la question s'il fallait prévenir. Après, je me souviens, dans mon ancienne piscine (à Montpellier aussi), j'avais prévenu de mes problèmes cardiaques (d'autant que j'avais fait 2 attaques dans cette piscine dans le mois précédent sans que jamais quiconque ne s'en rende compte). Je ne suis pas sûr que cela ait changé grand chose de le dire si ce n'est que les MNS étaient à deux doigts de m'interdire la piscine.
Bon, au final, j'ai regardé où étaient les MNS. Ils sont tout en haut des gradins que je ne pourrai de toute façon pas gravir donc... j'ai abandonné l'idée. Ils ont l'air, en plus, très attentifs à leur surveillance et je ne vois pas comment ils pourraient retenir les pathologies des nombreuses personnes qui passent.
Dans ma petite ville, oui, je papote avec les maîtres nageurs. Ici, à Montpellier, j'ai l'impression qu'ils voient trop de monde pour pouvoir faire attention à ce genre de détail. D'ailleurs, je me souviens d'une fois où je vois un maître nageur passer avec une bouteille de Vals à la main. Je voulais savoir où il l'avait acheté à Montpellier car c'est mon eau préférée... je l'ai hélé, appelé, crié... il ne m'a même pas entendu.
Et vous, vous communiquez avec les MNS ?
Re: Vos anecdotes du jour 2
Perso, je ne communique pas avec le staff technique mais je ne communique pas plus avec les autres nageurs à vrai dire.
Anecdote du jour, super séance, je me suis torturé le cou comme d'hab, il y avait pas mal de monde mais j'ai pris du plaisir quand même.
C'était une de mes dernières séances dans cette belle piscine olympique et son sauna, j'en profite pour saluer les équipes, de l'administratif à l'entretien aux MNs, qui depuis des années font le taf et tirent pas la gueule.
Les quelques fois ou j'ai du leurs demander quelque chose, genre lunettes tombés du sac et à la maison, ils m'ont toujours dépanné (j'ai bien sûr toujours ramené le matos).
Je salue en particulier une femme blonde de l’accueil toujours sympa.
Je suis pas le mec sympa… qui sympathise, je les connais que de vue et eux peut-être même pas vu le passage, ils me manqueront un peu. 7 ans je cite Christine «money printing» Lagarde, 7 on le sait tous c'est un chiffre important et c'est le temps qu'il m'aura fallu pour presque guérir.
L'anecdote du jour, c'est qu'il faut apprécier les petites choses même si on ne le montre pas.
Anecdote du jour, super séance, je me suis torturé le cou comme d'hab, il y avait pas mal de monde mais j'ai pris du plaisir quand même.
C'était une de mes dernières séances dans cette belle piscine olympique et son sauna, j'en profite pour saluer les équipes, de l'administratif à l'entretien aux MNs, qui depuis des années font le taf et tirent pas la gueule.
Les quelques fois ou j'ai du leurs demander quelque chose, genre lunettes tombés du sac et à la maison, ils m'ont toujours dépanné (j'ai bien sûr toujours ramené le matos).
Je salue en particulier une femme blonde de l’accueil toujours sympa.
Je suis pas le mec sympa… qui sympathise, je les connais que de vue et eux peut-être même pas vu le passage, ils me manqueront un peu. 7 ans je cite Christine «money printing» Lagarde, 7 on le sait tous c'est un chiffre important et c'est le temps qu'il m'aura fallu pour presque guérir.
L'anecdote du jour, c'est qu'il faut apprécier les petites choses même si on ne le montre pas.
Re: Vos anecdotes du jour 2
pour ma part c'est devenue compliqué avec les mns
Re: Vos anecdotes du jour 2
Je vois que mon post fonctionne bien 
Merci à vous
Depuis que je ne suis pas venue ici, j'en ai eu quelques unes des drôles et des moins drôles.
La première que je me souvienne c est les personnes qui se croient plus fortes que vous mais au final bah c'est l'inverse et on laisse couler et on le double avec un léger sourire
En général que je vois un nageur à coté de moi, un peu près dans mon niveau j'essaie d'accrocher le rythme sauf que ce coup là je n'ai pas vue ses palmes, le point positif bah j'ai suivie un bon moment
Samedi dernier, je me rends compte que j'ai oublié ma vento autant vous dire que sans ça peut devenir la cata avec le chlore, ça n a pas loupé 600m
Merci à vous Depuis que je ne suis pas venue ici, j'en ai eu quelques unes des drôles et des moins drôles.
La première que je me souvienne c est les personnes qui se croient plus fortes que vous mais au final bah c'est l'inverse et on laisse couler et on le double avec un léger sourire
En général que je vois un nageur à coté de moi, un peu près dans mon niveau j'essaie d'accrocher le rythme sauf que ce coup là je n'ai pas vue ses palmes, le point positif bah j'ai suivie un bon moment
Samedi dernier, je me rends compte que j'ai oublié ma vento autant vous dire que sans ça peut devenir la cata avec le chlore, ça n a pas loupé 600m
On connait son passé, on vit son présent, nul ne sait que sera son futur 
Re: Vos anecdotes du jour 2
Pas mal le coup de la chaussette fugueuse 
Hier, il est sur le coup de 9h45/10h je devais y aller vers 7h30/8h oupsss
Quoi qu'il en soit, il n'y a pas grand mondes hormis les scolaires qui prennent une partie du bassin, mais ça va pas énormément de nageurs;)
J'ai l'impression que certains font exprès de prendre la ligne nageurs pour ne pas avancer et gêner tout le monde. Je rechange de ligne, on est deux un nageurs très gentil d'ailleurs qui me laisse passer a chaques virages est franchement merci à lui car c'est assez rare, car c'est plutôt rare ces gens qui ne laissent pas passer et c'est très régulier, on finit de doubler et paf il repart sous notre nez et la juste dégouté
En tout cas cette séance ces finis avec les compliments de ce p'tit Mr, ça fait vraiment plaisir et même temps gêner
Hier, il est sur le coup de 9h45/10h je devais y aller vers 7h30/8h oupsss
Quoi qu'il en soit, il n'y a pas grand mondes hormis les scolaires qui prennent une partie du bassin, mais ça va pas énormément de nageurs;)
J'ai l'impression que certains font exprès de prendre la ligne nageurs pour ne pas avancer et gêner tout le monde. Je rechange de ligne, on est deux un nageurs très gentil d'ailleurs qui me laisse passer a chaques virages est franchement merci à lui car c'est assez rare, car c'est plutôt rare ces gens qui ne laissent pas passer et c'est très régulier, on finit de doubler et paf il repart sous notre nez et la juste dégouté
En tout cas cette séance ces finis avec les compliments de ce p'tit Mr, ça fait vraiment plaisir et même temps gêner
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joelrollin
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Re: Vos anecdotes du jour 2
J'avoue que je ne sais pas trop gérer les nageurs plus rapides... ou les plus lents.
Déjà, je suis handicapé de la colonne vertébrale donc il m'est difficile de me retourner pour voir qui vient derrière moi. Du coup, la plupart du temps, je m'en rends compte que j'ai un nageur plus rapide en approche que quand je fais moi-même mon virage. Donc si je peux, j'arrête mon départ et je laisse passer mais je dois faire gaffe pour ne pas faire de mouvement brusque du bassin et me foutre des douleurs dans la colonne.
Dès que je le peux, je laisse passer mais rien ne m'agace plus que le nageur que je laisse passer et qui se met sur le dos, devenant, d'un coup très lent. Ou pire, le nageur qui te double et s'arrête d'un coup, comme si le fait que toi, tu arrives derrière n'avait aucune importance (le pro c'est lui, toi, tu es là pour boire un mojito sur une bouée licorne donc...).
Rien ne m'agace plus que le nageur plus rapide, qui estime qu'avant mon virage j'aurais dû anticiper de le laisser passer. Il me double au mur avec un regard noir, la tête qui bouge dans tous les sens. Ben ouais, je n'ai pas de rétro pour voir les gens qui arrivent à toute berzingue derrière moi, je ne t'avais pas vu et je ne sais pas comment j'aurais pu te voir... mais est-ce si grave ?
Rien ne m'agace plus que le nageur plus rapide qui reste derrière moi ou attend que je m'arrête pour qu'il me double alors qu'on est que 2 sur une ligne de 50m. J'estime que là, les conditions sont réunis pour qu'il se passe de mon aide.
Rien ne m'agace plus que le nageur plus lent, que je double dans les 10 derniers mètres et qui se retourne avant d'aller au mur. Tu viens de le doubler, tu fais ton virage et là tu le retrouves devant toi... (évidemment, c'est le nageur qui ne fera jamais un effort pour t'aider à le passer).
Rien ne m'agace plus que le nageur qui, au moment où je vais le doubler, se met à accélérer comme piqué au vif de se faire doubler.
D'ailleurs, rien ne m'amuse plus que le nageur que je double et qui subitement change de ligne. C'est un trait très masculin, ça de ne pas accepter de ne pas être le plus rapide de la ligne.
Déjà, je suis handicapé de la colonne vertébrale donc il m'est difficile de me retourner pour voir qui vient derrière moi. Du coup, la plupart du temps, je m'en rends compte que j'ai un nageur plus rapide en approche que quand je fais moi-même mon virage. Donc si je peux, j'arrête mon départ et je laisse passer mais je dois faire gaffe pour ne pas faire de mouvement brusque du bassin et me foutre des douleurs dans la colonne.
Dès que je le peux, je laisse passer mais rien ne m'agace plus que le nageur que je laisse passer et qui se met sur le dos, devenant, d'un coup très lent. Ou pire, le nageur qui te double et s'arrête d'un coup, comme si le fait que toi, tu arrives derrière n'avait aucune importance (le pro c'est lui, toi, tu es là pour boire un mojito sur une bouée licorne donc...).
Rien ne m'agace plus que le nageur plus rapide, qui estime qu'avant mon virage j'aurais dû anticiper de le laisser passer. Il me double au mur avec un regard noir, la tête qui bouge dans tous les sens. Ben ouais, je n'ai pas de rétro pour voir les gens qui arrivent à toute berzingue derrière moi, je ne t'avais pas vu et je ne sais pas comment j'aurais pu te voir... mais est-ce si grave ?
Rien ne m'agace plus que le nageur plus rapide qui reste derrière moi ou attend que je m'arrête pour qu'il me double alors qu'on est que 2 sur une ligne de 50m. J'estime que là, les conditions sont réunis pour qu'il se passe de mon aide.
Rien ne m'agace plus que le nageur plus lent, que je double dans les 10 derniers mètres et qui se retourne avant d'aller au mur. Tu viens de le doubler, tu fais ton virage et là tu le retrouves devant toi... (évidemment, c'est le nageur qui ne fera jamais un effort pour t'aider à le passer).
Rien ne m'agace plus que le nageur qui, au moment où je vais le doubler, se met à accélérer comme piqué au vif de se faire doubler.
D'ailleurs, rien ne m'amuse plus que le nageur que je double et qui subitement change de ligne. C'est un trait très masculin, ça de ne pas accepter de ne pas être le plus rapide de la ligne.
Re: Vos anecdotes du jour 2
Anecdote du jour… malheureuse…
Je me rends à la piscine de mon nouveau domicile, il doit y avoir une 20aine de cabines pour les messieurs.
J'en prends une sans préter attention. Je me déshabille et je sors les affaires de mon sac. Les cabines ne sont pas très grandes et se faisant ma serviette et mon maillot tombe au sol, je remarque un peu d'eau dans les coins.
Bref, je ramasse le maillot et le passe, ensuite j'attrape la serviette, et je sens une odeur désagréable. Je n'insiste pas, je plie ça de façon à protéger le reste de mes affaires et je pars pour ma séance : pas envie de me prendre la tête et je verrai bien plus tard.
Séance sympa, je prends mes repéres dans cette piscine, l'eau est je trouve plus «mouvante» que dans la piscine que je fréquentais et je me rends compte que sans y prendre gare je devais avoir pas mal de repères visuels. Je m'adapte. Je ne fais toujours pas de volume, épaule/cervicales/etc mais après un espèce de lumbago unilatéral que j'ai trainé 5 jours (et j'ai encore des douleurs et un manque de souplesse) je me suis senti plus à l'aise que lors des deux dernières séances. Mon dos n'est plus loin du déblocage complet, j'y crois encore.
Bref ma séance se passe.
Je retourne au vestiaire, je prends mes affaires et je choisis une cabine au dessus de tout soupçon. J'attrape la serviette, odeur de mort, pisse au poisson, l'horreur.
J'ai fait de mon mieux pour éviter les zones qui avaient touché le sol mais j'étais écœuré. Je pense qu'un gros dégueu avait pissé dans la cabine, et pas de la clairette : infâme.
Retour maison : lavage à la main de cette putain de serviette.Dégouté, je ferai gaffe mais quand même… les toilettes sont à 5m littéralement.
Je me rends à la piscine de mon nouveau domicile, il doit y avoir une 20aine de cabines pour les messieurs.
J'en prends une sans préter attention. Je me déshabille et je sors les affaires de mon sac. Les cabines ne sont pas très grandes et se faisant ma serviette et mon maillot tombe au sol, je remarque un peu d'eau dans les coins.
Bref, je ramasse le maillot et le passe, ensuite j'attrape la serviette, et je sens une odeur désagréable. Je n'insiste pas, je plie ça de façon à protéger le reste de mes affaires et je pars pour ma séance : pas envie de me prendre la tête et je verrai bien plus tard.
Séance sympa, je prends mes repéres dans cette piscine, l'eau est je trouve plus «mouvante» que dans la piscine que je fréquentais et je me rends compte que sans y prendre gare je devais avoir pas mal de repères visuels. Je m'adapte. Je ne fais toujours pas de volume, épaule/cervicales/etc mais après un espèce de lumbago unilatéral que j'ai trainé 5 jours (et j'ai encore des douleurs et un manque de souplesse) je me suis senti plus à l'aise que lors des deux dernières séances. Mon dos n'est plus loin du déblocage complet, j'y crois encore.
Bref ma séance se passe.
Je retourne au vestiaire, je prends mes affaires et je choisis une cabine au dessus de tout soupçon. J'attrape la serviette, odeur de mort, pisse au poisson, l'horreur.
J'ai fait de mon mieux pour éviter les zones qui avaient touché le sol mais j'étais écœuré. Je pense qu'un gros dégueu avait pissé dans la cabine, et pas de la clairette : infâme.
Retour maison : lavage à la main de cette putain de serviette.Dégouté, je ferai gaffe mais quand même… les toilettes sont à 5m littéralement.