Cher Philippe,
J'ai une question à la lecture de votre parcours: la pratique intensive du sport mène-t-elle inévitablement à ce genre de blessure? Auriez-vous pu atteindre le même niveau, le même plaisir, en évitant ces problèmes de hanche? (En étant mieux suivi? en s'écoutant? en faisant des renforcements spécifiques? en prenant des périodes de repos? etc...). J'imagine que vous y avez réfléchi...
Blessure en marathon, carence en endorphines : soins
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Re: Blessure en marathon, carence en endorphines : soins
Bienvenu triathlon1960
Waouh
J'ai accumulé du retard dans la lecture des posts ces derniers temps. Faut que je m'y remette 

Waouh


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Re: Blessure en marathon, carence en endorphines : soins
Bonsoir Skip,
J'ai eu une bonne hygiène de vie en pratiquant marathon et tennis. J'ai aussi un gabarit. je remplaçais mes chaussures de qualité dès que nécessaire et au moins deux fois par an.
Je ne parle pas de pratique intensive mais plutôt régulière. J'étais souvent avec la même bande. j'avais une fragilité de hanche et quand la douleur est apparue, c'était déjà tard. Ils vont tous toujours au même rythme.
Lundi et jeudi étaient off: je n'avais pas le sentiment de ne pas faire n'importe quoi. Ca aurait été de trop, réellement ces jours-là.
L'été, je faisais de la planche à voile et nageais, l'hiver du ski : je savais ainsi mettre du repos dans des activités provoquant des chocs.
J'ai toujours mis en place des étirements : 15 mn tous les matins au lever puis après efforts. j'ai fait 9 ans de foot au PSG : s'il ne gagne pas toujours, sic, au moins on y apprend les échauffements et les soins.
Voyez nos tennisman français à quelques jours de Rolland Garros. L'infirmerie est pleine. Nous ne sommes pas tous égaux.
Maintenant, trouver un médecin capable de positionner les endorphines : c'est un autre débat!
Je reconnais que je n'avais pas intégré un club pour la course à pied. Mais c'était bien le cas au tennis. Je ne sais pas réellement si les médecins se soucient de cela et s'ils ont bien la formation...
Mais me voilà assurément plutôt à l'abri parmi "vous".
A bientôt,
Philippe
J'ai eu une bonne hygiène de vie en pratiquant marathon et tennis. J'ai aussi un gabarit. je remplaçais mes chaussures de qualité dès que nécessaire et au moins deux fois par an.
Je ne parle pas de pratique intensive mais plutôt régulière. J'étais souvent avec la même bande. j'avais une fragilité de hanche et quand la douleur est apparue, c'était déjà tard. Ils vont tous toujours au même rythme.
Lundi et jeudi étaient off: je n'avais pas le sentiment de ne pas faire n'importe quoi. Ca aurait été de trop, réellement ces jours-là.
L'été, je faisais de la planche à voile et nageais, l'hiver du ski : je savais ainsi mettre du repos dans des activités provoquant des chocs.
J'ai toujours mis en place des étirements : 15 mn tous les matins au lever puis après efforts. j'ai fait 9 ans de foot au PSG : s'il ne gagne pas toujours, sic, au moins on y apprend les échauffements et les soins.
Voyez nos tennisman français à quelques jours de Rolland Garros. L'infirmerie est pleine. Nous ne sommes pas tous égaux.
Maintenant, trouver un médecin capable de positionner les endorphines : c'est un autre débat!
Je reconnais que je n'avais pas intégré un club pour la course à pied. Mais c'était bien le cas au tennis. Je ne sais pas réellement si les médecins se soucient de cela et s'ils ont bien la formation...
Mais me voilà assurément plutôt à l'abri parmi "vous".
A bientôt,
Philippe