C'est chouette le 4Nphilou67 a écrit :Amusant, ce matin j'ai intégré une pyramide de 4N à l'échauffement, avec au sommet, un 200 : le 50 pap était laborieux, mais j'ai été sauvé par un lent devant qui m'a forcé à passer en pap à 1 bras, le dos a joué la récup à fond, mais j'avais de nouveau du jus pour la brasse, en 3e position.
Le bon côté de m'être plus entraînée sur des 50m papillon ces derniers temps c'est que depuis le 100 4N est différent, j'ai plus de plaisir et d'énergie d'où mon envie de faire durer. Va peut-être falloir que je fasse du 100 pap pour que le 200 4N soit plus sympa c'est pas demain la veille !
Oui, tu as tout fait raison ! Il suffit aussi d'une petite variation de ma tête ou une trajectoire un peu vers l'intérieur de mon appui pour que mon horizontalité ou alignement soit fragilisé(e). C'est très impressionnant cette sorte d'équilibre fragile. Sur 50m, ça m'arrive encore régulièrement d'avoir ce souci au moins une fois. Le bon côté c'est qu'intuitivement je peux corriger pour le cycle d'après.jaja63 a écrit :Je n'ai pas encore tout lu mais il y a déjà une chose/différence qui me saute aux yeux entre les 2 photos. Sur la première tu as le bras qui remonte et (donc) les pieds qui tombent (manque d'horizontalité). Sur la 2ème ton bras est engagé vers le bas et là tu es bien alignée - tête, bassin, pieds font une ligne bien horizontale proche de la surface de l'eau.
C'est impressionnant comment un "petit" détail peut avoir un grand impact.
D'ailleurs je suis plutôt contente aussi de la différence sur la vidéo extérieure (mais la qualité d'image permet moins de faire une comparaison photo) où en novembre je rentre la main devant ma tête et je dois sous l'eau la décaler un peu pour prendre mon appui, tandis qu'en juillet ma main rentre bien plus en face de mon épaule directement. A mon avis c'est pour ça que ma main est moins orientée vers ma cuisse à la fin du mouvement sous marin et plus vers l'arrière ; si c'était le point que l'on avait noté ce n'était pas forcément le point à corriger en soi mais plus ce qui se passait en amont.